Les couteaux produits par les techniques traditionnelles japonaises du sabre japonais, Koshikitanzo (l’ancienne façon japonaise de forger le forgeron).
Pour poursuivre la mouture facile et la ténacité de la lame, il utilise principalement du fer forgé précieux ou de l’acier japonais vieilli pour l’acier de base, essaie de ne pas utiliser autant que possible le fer moderne. Ce fer rare a été utilisé pour les bâtiments et la construction navale il y a plus de 100 ans.
Il fait avec la soudure à la forge à la finition à la main un par un, sans utiliser de matériaux contenant des lames.
À propos de Shokei Funaki
Naissance : 17 octobre 1972 à Yokohama, Japon
Comme ses ancêtres, à la fois paternels et maternels, étaient un forgeron ou un concepteur / traitement de métal, il aspirait à l’épée depuis son enfance. Alors qu’il a appris la forge par lui-même dans son adolescence, a interagi avec un forgeron à Sanjo, Niigata. Il en vint à s’intéresser à la production d’un couteau utile. Après avoir travaillé dans un restaurant japonais pendant 3 ans, il a été apprenti chez un certain M. Teiichiro Yamaguchi à Yoshisada Hamono où se trouve une forge originaire de forgeron depuis 300 ans. Il a finalement construit un atelier de forgeron à Yashiro, Kyoto au fond de la montagne où se trouve le temple Kinkakuji.
Essayer d’utiliser fer forgé ou acier japonais vieilli pour l’acier de base et éviter autant que possible l’utilisation de fer moderne.
Il est l’un des rares forgerons qui fabrique une qualité inégale du fer au couteau exclusif par des compétences et des techniques élevées. Toutes les procédures, la fixation de la lame et la création de la poignée sont faites par lui-même.
Il fait également attention au centre de gravité de la lame afin que le couteau garde un bon équilibre. Il donne facile à tenir pour tout le monde.
Il produit également la fabrication Tamahagane de clous japonais des temps anciens avec la méthode de greffage, couteaux et épée courte de Tamahagame. Nous ne traitons malheureusement pas dans la ligne Tamahagane à cause des produits très chers.
Manche perfectionné avec cordon de corde japonais de ruse et de glycine
Après avoir enroulé le manche d’une lame pleine avec de la paille, durcir avec de nombreux enduits et meulages ainsi que le travail de laque. Le manche a à la fois la prévention de l’entrée d’eau et l’amélioration de la préhension, c’est sa conception originale suggérant une poignée d’un sabre japonais.